Légende urbaine / maison / surréalisme

Légende urbaine

Le rachat de Bouygues Telecom par Orange s'inscrit dans une réelle opportunité de synergie, loin des habituelles rumeurs autour des Telecoms.

Bouygues apporte son savoir faire dans le BTP pour la déconstruction des réseaux  infestés par des insectes accros au cuivre. Bouygues assure aussi la construction de réseaux fibres robustes et sûrs.

A cet effet, on parle d'un triple partenariat dont le troisième larron serait le laboratoire Servier, détenteur du brevet d'une molécule tueuse capable d'éradiquer les rats transgéniques grands dévoreurs de fibre optique.

Ce fait est avéré et, rendons en grâce à Servier, grâce à l'analyse des déjections de ces fameux rats.

Maison / analyse psycho

J'aimerai être un peu plus vieux d'un an quoique j'ignore totalement combien d'années il me reste.

La voilà terminée cette maison de plein pieds dont je travaille aujourd'hui les esquisses.

J'arrive par le sud, et elle occupe toute la largeur du terrain, assez étroit ma foi. Un toit plat, tel était mon souhait. la terrasse non finie laisse apparaitre les pieux/pilotis qui soutiennent la dalle en bois. La façade aligne son bardage autour d'une large baie vitrée en alu de quatre vantaux. J'y jette un oeil et c'est une cuisine ouvrte sur un grans salon qui s'offre à moi.

Je me laisse guider par le trottoir pour arriver jusqu'à la porte d'entrée, laissant sur ma gauche les abris voitures.

Un petit vestibule dessert les deux chambres, la salle de bain et in placard adossé à la buanderie,  avant de déboucher dans le salon. Sur la droite,  la cuisine intégrée et son îlot central, laisse augurer les petits plats mijotés que je ne manquerai pas de concocter. L'immense salon finit en " L " sur la gauche, délimité par la salle de bain, en un endroit cosy censé accueillir le coint TV. Pas sûr que je me résolve à cet achat.

Un poële cental à pellets laisse rayonner une douce chaleur bien agréable en cet hiver pluvieux, d'un an...

Surréalisme

Maudite France Info et ce KourouKouKou, pauvre imitation du cri d'une gallinacé gaulois qui annonce la sixième version de la fusée Ariane.

Ariane ! Je ne t'ai connu qu'une, et quand tu pris ton envol pour quitter mon orbite...

Je te pleure encore.